Commencé hier soir Pulp de Bukowski. L’essence de la littérature, sans doute, c’est l’improvisation. Il faut que la pensée et l’écriture soient autant que possible simultanées. La littérature se joue dans l’instant. Si l’on planifie trop à l’avance, ça tend vers autre chose, vers l’essai, la démonstration. C’est ce qui me rebute chez Zola, ce côté synopsis développé sur trois cents pages.
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