J’éprouve une immense admiration pour Ségolène Royal. Dans la nuit dans laquelle la France est plongée, elle est une des deux lumières (avec François Bayrou) qui nous indiquent la voie du salut. J’éprouve, à l’inverse, un immense mépris pour tous les commentateurs nuls qui l’ont trouvée mauvaise lors du débat des primaires et qui la voient déjà perdante. Leurs yeux vont s’ouvrir le 9 octobre, tandis que la stupéfaction et la souffrance creuseront de nouveaux circuits dans leurs cerveaux décatis.
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