Terminé La Bête qui meurt de Philip Roth. Lecture agréable, même si cela ne vaut pas les éloges outrés que l’on adresse en France à l’œuvre de Roth. Beaucoup de contenu sociologique, des réflexions justes et intéressantes sur les femmes, l’âge, la société. Les digressions sont plus intéressantes que l’histoire elle-même, à cause de l’insignifiance du personnage féminin. Immoralisme frappant de toute cette génération née dans les années trente (Woody Allen, Philippe Sollers, Roth, etc.). Toujours les mêmes histoires de vieux intellectuels couchant sans vergogne avec des étudiantes. Pour eux, le sexe est la réalité suprême, pas de forces de l’esprit, la mort comme néant absolu.
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